Comme je me souviens de ce ronronnement qui venait se blottir au creux de mon cou... Les pattes qui me pétrissaient l'épaule, gauche ou droite suivant l'humeur. Ce museau humide qui me bisoutait la pointe du nez en me saluant le soir, quand, de retour à la maison, je me laissais engloutir par mon fauteuil. Et ce regard mi-clos qui plongeait dans le mien et me reprochait en tendresse mon absence du jour...<br />
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Émotion.
Rochelle
Entre plumes et pinceaux... l'amour de l'art, de la peinture et des belles lettres...